Dans l’horreur, je dirais que c’est la première des deux guerres mondiales qui me fascine le plus. Même avec toute la documentation qu’on en a, je crois que nous ne parviendrons jamais à réaliser réellement les conditions de vie de tous ces soldats, à imaginer seulement le quart de ce qu’ils ont pu vivre, ressentir.

Il y a dans leur résignation, leur abnégation, leur massacre sans fin, quelque chose de profondément puissant et touchant, quelque chose qui mérite d’être dit, montré, pour garder le souvenir d’un temps qui n’aurait jamais dû être.

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